Poème ventre - 8 Poèmes sur ventre

8 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : éventaire éventaires éventer éventera éventerai éventeraient éventerais éventerait éventeras éventèrent éventerez éventeriez éventerions éventerons éventeront éventra éventrai éventraient éventrais éventrait éventrâmes éventrant éventras éventrasse éventrassent éventrasses éventrassiez éventrassions éventrât éventrâtes éventration éventrations éventre éventré éventrée éventrées éventrent éventrer éventrera éventrerai éventreraient éventrerais éventrerait éventreras éventrèrent éventrerez éventreriez éventrerions éventrerons éventreront éventres éventrés éventreur éventreurs éventrez éventriez éventrions éventrons vantard vantarde vantardes vantardise vantardises vantards vanter vantera vanterai vanteraient vanterais vanterait vanteras vantèrent vanterez vanterie vanteries vanteriez vanterions vanterons vanteront venter ventera venterait ventral ventrale ventrales ventraux ventre ventrebleu ventrée ventrées ventres ventriculaire ventriculaires ventricule ventricules ventrière ventrières ventriloque ventriloques ventriloquie ventriloquies ventripotent ventripotente ventripotentes ventripotents ventru ventrue ventrues ventrus venturi venturis ...

Quels secrets dans son coeur brûle ma jeune amie,
Ame par le doux masque aspirant une fleur ?
De quels vains aliments sa naïve chaleur
Fait ce rayonnement d'une femme endormie ?

Souffle, songes, silence, invincible accalmie,
Tu triomphes, ô paix plus puissante qu'un pleur,
Quand de ce plein sommeil l'onde grave et l'ampleur
Conspirent sur le sein d'une telle ennemie.

Dormeuse, amas doré d'ombres et d'abandons,
Ton repos redoutable est chargé de tels dons,
Ô biche avec langueur longue auprès d'une grappe,

Que malgré l'âme absente, occupée aux enfers,
Ta forme au ventre pur qu'un bras fluide drape,
Veille ; ta forme veille, et mes yeux sont ouverts.
La Dormeuse
Poèmes de Paul Valéry

Citations de Paul Valéry

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Ma brune aux yeux dorés, ton corps d’ivoire et d’ambre
A laissé des reflets lumineux dans la chambre
Au-dessus du jardin.

Le ciel clair de minuit, sous mes paupières closes,
Rayonne encor Je suis ivre de tant de roses
Plus rouges que le vin.

Délaissant leur jardin, les roses m’ont suivie
Je bois leur souffle bref, je respire leur vie.
Toutes, elles sont là.

C’est le miracle les étoiles sont entrées,
Hâtives, à travers les vitres éventrées
Dont l’or fondu coula.

Maintenant, parmi les roses et les étoiles,
Te voici dans ma chambre, abandonnant tes voiles,
Et ta nudité luit.

Sur mes yeux s’est posé ton regard indicible
Sans astres et sans fleurs, je rêve l’impossible
Dans le froid de la nuit.
Les roses sont entrées
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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