Poème referme - 4 Poèmes sur referme

4 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : raffermi raffermie raffermies raffermîmes raffermir raffermira raffermirai raffermiraient raffermirais raffermirait raffermiras raffermirent raffermirez raffermiriez raffermirions raffermirons raffermiront raffermis raffermissaient raffermissais raffermissait raffermissant raffermisse raffermissement raffermissements raffermissent raffermisses raffermissez raffermissiez raffermissions raffermissons raffermit raffermît raffermîtes réaffirma réaffirmai réaffirmaient réaffirmais réaffirmait réaffirmâmes réaffirmant réaffirmas réaffirmasse réaffirmassent réaffirmasses réaffirmassiez réaffirmassions réaffirmât réaffirmâtes réaffirme réaffirmé réaffirmée réaffirmées réaffirment réaffirmer réaffirmera réaffirmerai réaffirmeraient réaffirmerais réaffirmerait réaffirmeras réaffirmèrent réaffirmerez réaffirmeriez réaffirmerions réaffirmerons réaffirmeront réaffirmes réaffirmés réaffirmez réaffirmiez réaffirmions réaffirmons référâmes referma refermai refermaient refermais refermait refermâmes refermant refermas refermasse refermassent refermasses refermassiez refermassions refermât refermâtes referme refermé refermée refermées referment refermer refermera refermerai refermeraient refermerais refermerait refermeras refermèrent refermerez refermeriez refermerions refermerons refermeront refermes refermés refermez refermiez refermions refermons reforma réforma réformable réformables reformai réformai réformaient reformais réformais réformait reformâmes réformâmes réformant reformas réformas reformasse réformasse reformassent réformassent reformasses réformasses reformassiez réformassiez reformassions réformassions reformât réformât reformâtes réformâtes réformateur réformateurs réformatrice réformatrices reforme reformé réforme réformé reformée réformée reformées réformées reforment réforment reformer réformer reformera réformera reformerai réformerai reformeraient réformeraient reformerais réformerais reformerait réformerait reformeras réformeras reformèrent réformèrent reformerez réformerez reformeriez réformeriez reformerions réformerions reformerons réformerons reformeront réformeront reformes reformés réformes réformés réformette réformettes réformez réformiez réformions réformisme réformismes réformiste réformistes réformons reformula reformulai reformulaient reformulais reformulait reformulâmes reformulant reformulas reformulasse reformulassent reformulasses reformulassiez reformulassions reformulât reformulâtes reformule reformulé reformulée reformulées reformulent reformuler reformulera reformulerai reformuleraient reformulerais reformulerait reformuleras reformulèrent reformulerez reformuleriez reformulerions reformulerons reformuleront reformules reformulés reformulez reformuliez reformulions reformulons refourrâmes ...

Que ce soit dimanche ou lundi
Soir ou matin minuit midi
Dans l'enfer ou le paradis
Les amours aux amours ressemblent
C'était hier que je t'ai dit
Nous dormirons ensemble

C'était hier et c'est demain
Je n'ai plus que toi de chemin
J'ai mis mon coeur entre tes mains
Avec le tien comme il va l'amble
Tout ce qu'il a de temps humain
Nous dormirons ensemble

Mon amour ce qui fut sera
Le ciel est sur nous comme un drap
J'ai refermé sur toi mes bras
Et tant je t'aime que j'en tremble
Aussi longtemps que tu voudras
Nous dormirons ensemble

Vers à danser
Poèmes de Louis Aragon

Citations de Louis Aragon

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Le soir s'est refermé, telle une sombre porte,
Sur mes ravissements, sur mes élans d'hier...
Je t'évoque, ô splendide ! ô fille de la mer !
Et je viens te pleurer comme on pleure une morte.

L'air des bleus horizons ne gonfle plus tes seins,
Et tes doigts sans vigueur ont fléchi sous les bagues.
N'as-tu point chevauché sur la crête des vagues,
Toi qui dors aujourd'hui dans l'ombre des coussins ?

L'orage et l'infini qui te charmaient naguère
N'étaient-ils point parfaits et ne valaient-ils pas
Le calme conjugal de l'âtre et du repas
Et la sécurité près de l'époux vulgaire ?

Tes yeux ont appris l'art du regard chaud et mol
Et la soumission des paupières baissées.
Je te vois, alanguie au fond des gynécées,
Les cils fardés, le cerné agrandi par le k'hol.

Tes paresses et tes attitudes meurtries
Ont enchanté le rêve épais et le loisir
De celui qui t'apprit le stupide plaisir,
Ô toi qui fus hier la soeur des Valkyries !

L'époux montre aujourd'hui tes yeux, si méprisants
Jadis, tes mains, ton col indifférent de cygne,
Comme on montre ses blés, son jardin et sa vigne
Aux admirations des amis complaisants.

Abdique ton royaume et sois la faible épouse
Sans volonté devant le vouloir de l'époux...
Livre ton corps fluide aux multiples remous,
Sois plus docile encore à son ardeur jalouse.

Garde ce piètre amour, qui ne sait décevoir
Ton esprit autrefois possédé par les rêves...
Mais ne reprends jamais l'âpre chemin des grèves,
Où les algues ont des rythmes lents d'encensoir.

N'écoute plus la voix de la mer, entendue
Comme un songe à travers le soir aux voiles d'or...
Car le soir et la mer te parleraient encor
De ta virginité glorieuse et perdue.
Je pleure sur toi
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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