Poème promena - 4 Poèmes sur promena

4 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : âprement épierrement épierrements épurement épurements hypermnésie hypermnésies papier-monnaie parement parementa parementai parementaient parementais parementait parementâmes parementant parementas parementasse parementassent parementasses parementassiez parementassions parementât parementâtes paremente parementé parementée parementées parementent parementer parementera parementerai parementeraient parementerais parementerait parementeras parementèrent parementerez parementeriez parementerions parementerons parementeront parementes parementés parementez parementiez parementions parementons parements parmenture parmentures périmaient périmant périment périmions périmons permanence permanences permanent permanenta permanentai permanentaient permanentais permanentait permanentâmes permanentant permanentas permanentasse permanentassent permanentasses permanentassiez permanentassions permanentât permanentâtes permanente permanenté permanentée permanentées permanentent permanenter permanentera permanenterai permanenteraient permanenterais permanenterait permanenteras permanentèrent permanenterez permanenteriez permanenterions permanenterons permanenteront permanentes permanentés permanentez permanentiez permanentions permanentons permanents permanganate permanganates permanganique permanganiques permien permienne permiennes permiens prééminence prééminences prééminent prééminente prééminentes prééminents prémenstruel prémenstruelle prémenstruelles prémenstruels prémonition prémonitions prémonitoire prémonitoires prémontré prémontrés prémuni prémunie prémunies prémunîmes prémunir prémunira prémunirai prémuniraient prémunirais prémunirait prémuniras prémunirent prémunirez prémuniriez prémunirions prémunirons prémuniront prémunis prémunissaient prémunissais prémunissait prémunissant prémunisse prémunissent prémunisses prémunissez prémunissiez prémunissions prémunissons prémunit prémunît prémunîtes prémunition prémunitions préromantique préromantiques préromantisme préromantismes primaient primant priment primions primons proéminence proéminences proéminent proéminente proéminentes proéminents promena promenade promenades promenai promenaient promenais promenait promenâmes promenant promenas promenasse promenassent promenasses promenassiez promenassions promenât promenâtes promené promène promenée promenées promènent promener promènera promènerai promèneraient promènerais promènerait promèneras promenèrent promènerez promèneriez promènerions promènerons promèneront promenés promènes promeneur promeneurs promeneuse promeneuses promenez promeniez promenions promenoir promenoirs promenons promontoire promontoires purement pyromane pyromanes pyromanie pyromanies ...

Je ne suis pas de ceux qui disent : " Ce n'est rien,
C'est une femme qui se noie. "
Je dis que c'est beaucoup ; et ce sexe vaut bien
Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Ce que j'avance ici n'est point hors de propos,
Puisqu'il s'agit en cette fable,
D'une femme qui dans les flots
Avait fini ses jours par un sort déplorable.
Son époux en cherchait le corps,
Pour lui rendre, en cette aventure,
Les honneurs de la sépulture.
Il arriva que sur les bords
Du fleuve auteur de sa disgrâce
Des gens se promenaient ignorants l'accident.
Ce mari donc leur demandant
S'ils n'avaient de sa femme aperçu nulle trace :
" Nulle, reprit l'un deux ; cherchez-la plus bas ;
Suivez le fil de la rivière. "
Un autre repartit : " Non, ne le suivez pas ;
Rebroussez plutôt en arrière :
Quelle que soit la pente et l'inclination
Dont l'eau par sa course l'emporte,
L'esprit de contradiction
L'aura fait flotter d'autre sorte. " Cet homme se raillait assez hors de saison.
Quant à l'humeur contredisante,
Je ne sais s'il avait raison ;
Mais que cette humeur soit ou non
Le défaut du sexe et sa pente,
Quiconque avec elle naîtra
Sans faute avec elle mourra,
Et jusqu'au bout contredira,
Et, s'il peut, encor par delà.
La Femme noyée
Poèmes de Jean de La Fontaine

Citations de Jean de La Fontaine

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On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans.
- Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants!
On va sous les tilleuls verts de la promenade.

Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin!
L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière.
Le vent chargé de bruits - la ville n'est pas loin -
A des parfums de vigne et des parfums de bière...

- Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
D'azur sombre encadré d'une petite branche,
Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche ...

Nuit de juin! Dix-sept ans! - On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête...
On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite, là, comme une petite bête...

Le coeur fou robinsonne à travers les romans,
- Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère,
Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l'ombre du faux-col effrayant de son père...

Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif...
- Sur vos lèvres alors meurent les cavatines...

Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
Vous êtes amoureux. - Vos sonnets La font rire.
Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
- Puis l'adorée, un soir, a daigné vous écrire!...

Ce soir-là..., - vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
- On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.
Roman
Poèmes de Arthur Rimbaud

Citations de Arthur Rimbaud

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