Poème penetra - 4 Poèmes sur penetra

4 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : épointer épointera épointerai épointeraient épointerais épointerait épointeras épointèrent épointerez épointeriez épointerions épointerons épointeront paneterie paneteries panetier panetière panetières panetiers panneauter panneautera panneauterai panneauteraient panneauterais panneauterait panneauteras panneautèrent panneauterez panneauteriez panneauterions panneauterons panneauteront panthère panthères pantière pantières pantoire pantoires peintre peintres peintura peinturai peinturaient peinturais peinturait peinturâmes peinturant peinturas peinturasse peinturassent peinturasses peinturassiez peinturassions peinturât peinturâtes peinture peinturé peinturée peinturées peinturent peinturer peinturera peinturerai peintureraient peinturerais peinturerait peintureras peinturèrent peinturerez peintureriez peinturerions peinturerons peintureront peintures peinturés peinturez peinturiez peinturions peinturlura peinturlurai peinturluraient peinturlurais peinturlurait peinturlurâmes peinturlurant peinturluras peinturlurasse peinturlurassent peinturlurasses peinturlurassiez peinturlurassions peinturlurât peinturlurâtes peinturlure peinturluré peinturlurée peinturlurées peinturlurent peinturlurer peinturlurera peinturlurerai peinturlureraient peinturlurerais peinturlurerait peinturlureras peinturlurèrent peinturlurerez peinturlureriez peinturlurerions peinturlurerons peinturlureront peinturlures peinturlurés peinturlurez peinturluriez peinturlurions peinturlurons peinturons pénétra pénétrabilité pénétrabilités pénétrable pénétrables pénétrai pénétraient pénétrais pénétrait pénétrâmes pénétrant pénétrante pénétrantes pénétrants pénétras pénétrasse pénétrassent pénétrasses pénétrassiez pénétrassions pénétrât pénétrâtes pénétration pénétrations pénètre pénétré pénétrée pénétrées pénètrent pénétrer pénétrera pénétrerai pénétreraient pénétrerais pénétrerait pénétreras pénétrèrent pénétrerez pénétreriez pénétrerions pénétrerons pénétreront pénètres pénétrés pénétrez pénétriez pénétrions pénétromètre pénétromètres pénétrons pentarchie pentarchies penture pentures pianoter pianotera pianoterai pianoteraient pianoterais pianoterait pianoteras pianotèrent pianoterez pianoteriez pianoterions pianoterons pianoteront pinnothère pinnothères pinter pintera pinterai pinteraient pinterais pinterait pinteras pintèrent pinterez pinteriez pinterions pinterons pinteront pointer pointera pointerai pointeraient pointerais pointerait pointeras pointèrent pointerez pointeriez pointerions pointerons pointeront pointeur pointeurs pointure pointures ponter pontera ponterai ponteraient ponterais ponterait ponteras pontèrent ponterez ponteriez ponterions ponterons ponteront pontier pontiers Pontrjagin Pontryagin puanteur puanteurs puntarelle puntarelles ...

Une princesse, au fond des bois,
A dormi cent ans autrefois,
Oui, cent beaux ans, tout d'une traite.
L'enfant, dans sa fraîche retraite,
Laissait courir le temps léger.
Tout sommeillait à l'entour d'elle :
La brise n'eût pas de son aile
Fait la moindre feuille bouger ;
Le flot dormait sur le rivage ;
L'oiseau, perdu dans le feuillage,
Était sans voix et sans ébats ;
Sur sa tige fragile et verte
La rose restait entr'ouverte :
Cent printemps ne l'effeuillaient pas !
Le charme eût duré, je m'assure,
À jamais, sans le fils du roi.
Il pénétra dans cet endroit,
Et découvrit par aventure
Le trésor que Dieu lui gardait.
Un baiser, bien vite, il dépose
Sur la bouche qui, demi-close,
Depuis un siècle l'attendait.
La dame, confuse et vermeille,
À cet inconnu qui l'éveille
Sourit dans son étonnement.
Ô surprise toujours la même !
Sourire ému ! Baiser charmant !
L'amour est l'éveilleur suprême,
L'âme, la Belle au bois dormant.
La Belle au Bois dormant
Poèmes de Louise Ackermann

Citations de Louise Ackermann

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Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.

Car elle me comprend, et mon coeur, transparent
Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.

Est-elle brune, blonde ou rousse ? - Je l'ignore.
Son nom ? Je me souviens qu'il est doux et sonore
Comme ceux des aimés que la Vie exila.

Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.

Mon rêve familier
Poèmes de Paul Verlaine

Citations de Paul Verlaine

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