Poème cuverent - 1 Poèmes sur cuverent

1 poème


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : caveraient cavèrent caverions caverne cavernes caverneuse caverneuses caverneux cavernicole cavernicoles caverons caveront couveraient couvèrent couverions couverons couveront couvraient couvrant couvrante couvrantes couvrants couvrent couvrions couvriraient couvrirent couvririons couvrirons couvriront couvrons covariance covariances covariant covariante covariantes covariants cuivraient cuivrant cuivrent cuivreraient cuivrèrent cuivrerions cuivrerons cuivreront cuivrions cuivrons cuveraient cuvèrent cuverions cuverons cuveront équivariance équivariances équivariant équivariante équivariantes équivariants gaveraient gavèrent gaverions gaverons gaveront gouverna gouvernable gouvernables gouvernai gouvernaient gouvernail gouvernails gouvernais gouvernait gouvernâmes gouvernance gouvernances gouvernant gouvernante gouvernantes gouvernants gouvernas gouvernasse gouvernassent gouvernasses gouvernassiez gouvernassions gouvernât gouvernâtes gouverne gouverné gouvernée gouvernées gouvernement gouvernemental gouvernementale gouvernementales gouvernementalisme gouvernementalismes gouvernementaux gouvernements gouvernent gouverner gouvernera gouvernerai gouverneraient gouvernerais gouvernerait gouverneras gouvernèrent gouvernerez gouverneriez gouvernerions gouvernerons gouverneront gouvernes gouvernés gouverneur gouverneurs gouvernez gouverniez gouvernions gouvernons ...

Chacun a son défaut, où toujours il revient :
Honte ni peur n'y remédie.
Sur ce propos, d'un conte il me souvient :
Je ne dis rien que je n'appuie
De quelque exemple. Un suppôt de Bacchus
Altérait sa santé, son esprit, et sa bourse :
Telles gens n'ont pas fait la moitié de leur course
Qu'ils sont au bout de leurs écus.
Un jour que celui-ci, plein du jus de la treille,
Avait laissé ses sens au fond d'une bouteille,
Sa femme l'enferma dans un certain tombeau.
Là les vapeurs du vin nouveau
Cuvèrent à loisir. A son réveil il trouve
L'attirail de la mort à l'entour de son corps,
Un luminaire, un drap des morts.
" Oh ! dit-il, qu'est ceci ? Ma femme est-elle veuve ? "
Là-dessus, son épouse, en habit d'Alecton,
Masquée, et de sa voix contrefaisant le ton,
Vient au prétendu mort, approche de sa bière,
Lui présente un chaudeau propre pour Lucifer.
L'époux alors ne doute en aucune manière
Qu'il ne soit citoyen d'enfer.
" Quelle personne es-tu ? dit-il à ce fantôme.
- La cellerière du royaume
De Satan, reprit-elle ; et je porte à manger
A ceux qu'enclôt la tombe noire. "
Le mari repart, sans songer :
" Tu ne leur portes point à boire ? "
L'Ivrogne et sa Femme
Poèmes de Jean de La Fontaine

Citations de Jean de La Fontaine

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