Poème pete - 20 Poèmes sur pete
20 poèmes
Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : épata épatai épatais épatait épatas épatât épatâtes épate épatée épatées épates épatés épiâtes épiçâtes épite épites épithète épithètes épouti époutia époutiai époutiais époutiait époutias époutiât époutiâtes époutie époutié époutiée ...
Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeUn loup disait que l'on l'avait volé.
Un renard, son voisin, d'assez mauvaise vie,
Pour ce prétendu vol par lui fut appelé.
Devant le singe il fut plaidé,
Non point par avocats, mais par chaque partie,
Thémis n'avait point travaillé
De mémoire de singe, à fait plus embrouillé.
Le magistrat suait en son lit de justice.
Après qu'on eut bien contesté,
Répliqué, crié, tempêté,
Le juge, instruit de leur malice,
Leur dit : " Je vous connais de longtemps, mes amis,
Et tous deux vous paierez l'amende ;
Car toi, loup, tu te plains, quoiqu'on ne t'ait rien pris ;
Et toi, renard, as pris ce que l'on te demande. "
Le juge prétendait qu'à tort et à travers
On ne saurait manquer, condamnant un pervers.
Le Loup plaidant contre le Renard par-devant le Singe
Poèmes de Jean de La Fontaine
Citations de Jean de La Fontaine
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Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeOh ! si j'étais en ce beau sein ravie
De celui-là pour lequel vais mourant ;
Si avec lui vive le demeurant
De mes courts jours ne m'empêchait envie ;
Si m'accolant, me disait : Chère Amie,
Contentons-nous l'un l'autre, s'assurant
Que jà tempête, Euripe, ni courant
Ne nous pourra déjoindre en notre vie ;
Si, de mes bras le tenant accolé,
Comme du lierre est l'arbre encercelé,
La mort venait, de mon aise envieuse,
Lors que souef plus il me baiserait,
Et mon esprit sur ses lèvres fuirait,
Bien je mourrais, plus que vivante, heureuse.
Oh ! si j'étais en ce beau sein ravie
Poèmes de Louise Labé
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