Poème inspires - 1 Poèmes sur inspires

1 poème


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : inespéré inespérée inespérées inespérés inhospitalier inhospitalière inhospitalières inhospitaliers inséparable inséparablement inséparables insipide insipides insipidité insipidités insoupçonnable insoupçonnables insoupçonné insoupçonnée insoupçonnées insoupçonnés inspecta inspectai inspectaient inspectais inspectait inspectâmes inspectant inspectas inspectasse inspectassent inspectasses inspectassiez inspectassions inspectât inspectâtes inspecte inspecté inspectée inspectées inspectent inspecter inspectera inspecterai inspecteraient inspecterais inspecterait inspecteras inspectèrent inspecterez inspecteriez inspecterions inspecterons inspecteront inspectes inspectés inspecteur inspecteurs inspectez inspectiez inspection inspections inspectons inspectorat inspectorats inspectrice inspectrices inspira inspirai inspiraient inspirais inspirait inspirâmes inspirant inspirante inspirantes inspirants inspiras inspirasse inspirassent inspirasses inspirassiez inspirassions inspirât inspirâtes inspirateur inspirateurs inspiration inspirations inspiratrice inspiratrices inspire inspiré inspirée inspirées inspirent inspirer inspirera inspirerai inspireraient inspirerais inspirerait inspireras inspirèrent inspirerez inspireriez inspirerions inspirerons inspireront inspires inspirés inspirez inspiriez inspirions inspirons insupportable insupportablement insupportables ...

À quoi veux-tu songer? À toi. Songeons à toi.
Non, je ne juge pas ton amer caractère;
Rien de ton coeur serré ne me parait étroit
Si sur toi j'ai plié mon amour de la terre,

Mon amour des humains, de l'infini, des cieux,
Ma facile allégresse à répandre ma vie,
À rejoindre d'un bond, par les ailes des yeux,
L'éther qui m'appartient et dont tous ont envie !

Qu'y a-t-il de plus sûr et de meilleur que toi,
Ou, du moins, que l'amour brisant que tu m'inspires ?
- Le souci, les regrets, la mort sous tous les toits,
L'ambition qui râle et l'ennui qui soupire ! -

Moi je suis à l'abri ! Je n'ai, pour me tuer,
Pour me faire languir, pour créer ma détresse,
Que l'anxieux regard dans tes yeux situé,
Que l'accablant désert où souvent tu me laisses.

C'est assez ! Ah ! c'est trop ! Ou bien c'est suffisant !
Ces suprêmes chagrins m'ont d'autres maux guérie;
Et quelquefois je sens se réjouir mon sang
Quand tu ris comme l'eau dans la fraîche prairie !
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème
| Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 849 votes