Poème donner - 19 Poèmes sur donner

19 poèmes


Synonymes (Cliquez pour la liste complète) : abandonner accorder adjuger administrer adresser affirmer affubler aider aliéner aligner allonger allouer appliquer apporter approcher assener assigner assister assurer attacher attribuer avancer céder concéder conférer confier consacrer consentir déposer déterminer distribuer doter livrer offrir partager prêter procurer prodiguer produire provoquer rapporter redonner remettre rémunérer rendre renoncer répandre répartir représenter rétribuer sacrifier servir transmettre troquer ...

Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : dédouaner dédouanera dédouanerai dédouanerais dédouanerait dédouaneras denier dénier déniera dénierai dénierais dénierait dénieras deniers dénoiera dénoierai dénoierais dénoierait dénoieras dénouer dénouera dénouerai dénouerais dénouerait dénoueras denrée denrées dénuer dénuera dénuerai dénuerais dénuerait dénueras dinar dinars dîner dînera dînerai dînerais dînerait dîneras dîners dîneur dîneurs dodiner dodinera dodinerai dodinerais dodinerait dodineras donner donnera donnerai donnerais donnerait donneras donneur donneurs douanier douanière douanières douaniers ...

Que puis-je te donner qui te rende paisible ?
Puis-je chercher pour toi, aux cieux inaccessibles,
Les étoiles, jouets des anges ?
Verrai-je ton regard devenir clair et doux,
Cependant que tes mains aux rêveuses phalanges
Reposent noblement sur tes calmes genoux ?...
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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Mon éternel amour, te voici revenue.
Voici contre ma chair, ta chair brûlante et nue.

Et je t’aime, et j’ai tout pardonné, tout compris ;
Tu m’as enfin rendu ce que tu m’avais pris.

J’oublie en tes doux bras qu’il fut des jours haïs,
Que tu m’abandonnas et que tu me trahis.

Qu’importe si jadis le caprice des heures
Sut t’entraîner vers les amours inférieures ?

Qu’importe un être vil ? Son nom soit effacé !
Je ne me souviens plus de ce mauvais passé.

Je ne me souviens plus que de ta face pâle
Lorsque tu fis le don suprême, dans un râle

Et voici, comme hier, ton corps entre mes bras.
Ordonne, je ferai tout ce que tu voudras.

Comment ne point bannir toute ancienne querelle
Et ne point pardonner, en te voyant si belle ?

Comment ne pas t’étreindre et ne pas abolir
Le souci, l’amertume et le long souvenir,

Et n’aimer point la nuit qui voit nos chairs liées,
Et mourantes d’amour et réconciliées ?
Réconciliées
Poèmes de Renée Vivien

Citations de Renée Vivien

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