Poème consolateur - 2 Poèmes sur consolateur

2 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : conseil conseilla conseillai conseillaient conseillais conseillait conseillâmes conseillant conseillas conseillasse conseillassent conseillasses conseillassiez conseillassions conseillât conseillâtes conseille conseillé conseillée conseillées conseillent conseiller conseillera conseillerai conseilleraient conseillerais conseillerait conseilleras conseillère conseillèrent conseillères conseillerez conseilleriez conseillerions conseillerons conseilleront conseillers conseilles conseillés conseilleur conseilleurs conseilleuse conseilleuses conseillez conseilliez conseillions conseillons conseils consola consolable consolables consolai consolaient consolais consolait consolâmes consolant consolante consolantes consolants consolas consolasse consolassent consolasses consolassiez consolassions consolât consolâtes consolateur consolateurs consolation consolations consolatrice consolatrices console consolé consolée consolées consolent consoler consolera consolerai consoleraient consolerais consolerait consoleras consolèrent consolerez consoleriez consolerions consolerons consoleront consoles consolés consolez consolida consolidai consolidaient consolidais consolidait consolidâmes consolidant consolidas consolidasse consolidassent consolidasses consolidassiez consolidassions consolidât consolidâtes consolidation consolidations consolide consolidé consolidée consolidées consolident consolider consolidera consoliderai consolideraient consoliderais consoliderait consolideras consolidèrent consoliderez consolideriez consoliderions consoliderons consolideront consolides consolidés consolidez consolidiez consolidions consolidons consoliez consolions consolons consul consulaire consulaires consulat consulats consuls consulta consultable consultables consultai consultaient consultais consultait consultâmes consultant consultante consultantes consultants consultas consultasse consultassent consultasses consultassiez consultassions consultât consultâtes consultatif consultatifs consultation consultations consultative consultatives consulte consulté consultée consultées consultent consulter consultera consulterai consulteraient consulterais consulterait consulteras consultèrent consulterez consulteriez consulterions consulterons consulteront consultes consultés consultez consultiez consultions consultons ...

Du zéphyr l'amoureuse haleine
Soulève encor tes longs cheveux ;
Sur ton sein leurs flots onduleux
Retombent en tresses d'ébène,

L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.

Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.

C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage;
L'onde réfléchit ton image;
Le zéphyr m'apporte ta voix.

Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.

Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.

Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.

C'est ta main qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.

Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.

Pendant mon sommeil, si ta main
De mes jours déliait la trame,
Céleste moitié de mon âme,
J'irais m'éveiller dans ton sein !

Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !
Souvenir
Poèmes de Alphonse de Lamartine

Citations de Alphonse de Lamartine

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Rien; l'univers n'est rien. Nulle énigme pour l'homme
Dont l'esprit et les sens ont perçu le néant.
- La turbulente vie hasardeuse, et le somme
À jamais, dans le sol maussade et dévorant !

Rien ! Partout l'éphémère et partout le risible,
Partout l'insulte au coeur, partout la surdité
Du Destin, qui choisit pour délicate cible
La noblesse de l'homme et sa sécurité.

- Et parmi cette affreuse et poignardante injure,
Seulement toi, visage au masque de velours,
Divinité maligne, enivrante, âpre et pure,
Consolateur cruel, doux et terrible Amour !
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

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