Poème champs - 17 Poèmes sur champs

17 poèmes


Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : champ champagne Champagne-Ardenne champagnes champagnisa champagnisai champagnisaient champagnisais champagnisait champagnisâmes champagnisant champagnisas champagnisasse champagnisassent champagnisasses champagnisassiez champagnisassions champagnisât champagnisâtes champagnisation champagnisations champagnise champagnisé champagnisée champagnisées champagnisent champagniser champagnisera champagniserai champagniseraient champagniserais champagniserait champagniseras champagnisèrent champagniserez champagniseriez champagniserions champagniserons champagniseront champagnises champagnisés champagnisez champagnisiez champagnisions champagnisons champart champarts champenois champenoise champenoises champêtre champêtres champi champignon champignonnière champignonnières champignonniste champignonnistes champignons champion championnat championnats championne championnes champions champis champisse champisses champleva champlevai champlevaient champlevais champlevait champlevâmes champlevant champlevas champlevasse champlevassent champlevasses champlevassiez champlevassions champlevât champlevâtes champlevé champlève champlevée champlevées champlèvent champlever champlèvera champlèverai champlèveraient champlèverais champlèverait champlèveras champlevèrent champlèverez champlèveriez champlèverions champlèverons champlèveront champlevés champlèves champlevez champleviez champlevions champlevons champs chimpanzé chimpanzés échampi échampie échampies échampîmes échampir échampira échampirai échampiraient échampirais échampirait échampiras échampirent échampirez échampiriez échampirions échampirons échampiront échampis échampissaient échampissais échampissait échampissant échampisse échampissent échampisses échampissez échampissiez échampissions échampissons échampit échampît échampîtes ...

Elle était déchaussée, elle était décoiffée,
Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ;
Moi qui passais par là, je crus voir une fée,
Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ?


Elle me regarda de ce regard suprême
Qui reste à la beauté quand nous en triomphons,
Et je lui dis: Veux-tu, c'est le mois où l'on aime,
Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ?


Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ;
Elle me regarda pour la seconde fois,
Et la belle folâtre alors devint pensive.
Oh! comme les oiseaux chantaient au fond des bois !


Comme l'eau caressait doucement le rivage !
Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts,
La belle fille heureuse, effarée et sauvage,
Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers.

Elle était déchaussée, elle était décoiffée
Poèmes de Victor Hugo

Citations de Victor Hugo

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Pourquoi les boeufs traînent-ils les vieux chars pesants ?
Cela fait pitié de voir leur gros front bombé,
leurs yeux qui ont l'air de souffrance de tomber.
Ils font gagner le pain aux pauvres paysans.

S'ils ne peuvent plus marcher, les vétérinaires
les brûlent avec des drogues et des fers rouges.
Et puis dans les champs pleins de coquelicots rouges
les boeufs vont encore herser, racler la terre.

Il y en a qui se casse un pied quelquefois;
alors on tue celui-là pour la boucherie,
pauvre boeuf qui écoutait le grillon qui crie

et qui était obéissant aux rudes voix
des paysans qui hersaient sous le soleil fou,
pauvre boeuf qui allait il ne savait où.
Pourquoi les boeufs
Poèmes de Francis Jammes

Citations de Francis Jammes

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