Poème chaleur - 19 Poèmes sur chaleur
19 poèmes
Synonymes (Cliquez pour la liste complète) : action amour animation animosité ardeur atmosphère bouillonnement brio brûlure caloricité calorification canicule chasse chaud chaudier coeur concupiscence cordialité coup de chaleur courage désir effervescence élan éloquence emballement emportement empressement énergie enthousiasme ...
Phonétique (Cliquez pour la liste complète) : chaleur chaleureuse chaleureusement chaleureuses chaleureux chaleurs chaloir chauler chaulera chaulerai chauleraient chaulerais chaulerait chauleras chaulèrent chaulerez chauleriez chaulerions chaulerons chauleront chialer chialera chialerai chialeraient chialerais chialerait chialeras chialèrent chialerez ...
Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeAutomne pluvieux, mélancolique automne,
Remets cet ami dans mes bras !
Que m'importent ton eau, tes râles monotones,
Ton dépit, ton sombre embarras,
Si, dédaignant soudain tes humides rafales,
Je retrouve le tiède été
Près d'un corps chaleureux, et que mon front s'installe
Dans la douceur de son côté !
- Grâce d'un calme flot épandu dans une anse
Qui le limite et le détient !
Partage, ô mon amour, le délassant silence
De mon être réduit au tien...
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles
Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles
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Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poèmeAzuré, faible, blessé
Par le couteau de l'automne,
L’été se meurt, affaissé
Dans l’éther qui l'abandonne.
C'est un jour étroit. - Refus
D’opulence et de bien-être !
- Mon amour, toi qui ne fus
Que tel que tu pouvais être,
Sans rien au delà de toi,
Sans effort contre toi-même,
Sans ce frémissant émoi
Dont s’accroît celui qui aime,
Ce beau soir intelligent,
Aux couleurs nettes et ternes,
Ressemble à ton coeur d’argent !
Qui n'a ni chaleur ni cerne.
- C'est un beau morceau pensant
D’azur glacial et juste;
Mais pour ce sang bondissant,
Pour ce coeur vraiment auguste,
Mais pour cet esprit royal
Qui, disposant du mystère,
Avait dans ton poing frugal
le sceptre de la terre,
Était-ce vraiment assez,
Vraiment la comble mesure
De ma bachique blessure,
Ce pauvre amour que tu sais ?
Poème de l'amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles
Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles
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